LA TRIBUNE LIVRADAISE

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Communiqué de presse du maire Pierre Jean Pudal.

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                         Mardi 2 février 2016, le maire Pierre Jean Pudal avait convié la presse locale dans son bureau autour d'un petit café afin de faire le point et donner quelques éclaircissements sur le dossier de l'emprunt dit " toxique " évoqué lors du dernier conseil municipal du 22 janvier 2016 et dont nous avons fait un compte rendu dans la rubrique " Les échos du conseil ".

 

                        L'emprunt renégocié a été signé le vendredi qui a suivit le conseil municipal de janvier et entrera en vigueur en décembre 2016 pour une durée de 21 ans. Les 9 premières années de cet emprunt à taux variable ( 2007- 2016 ) ont été bénéfiques pour la commune puisqu' elle a économisé environ 300.000 euros soit 1,7% qui correspond à la différence entre le taux actuel et celui pratiqué sur le marché financier ( 5,59 - 3,89 ). Mr Zuttion maire, avait eu raison à l'époque de contracter cet emprunt.

 

                         Lors de la signature du nouvel emprunt, les chiffres ont été affinés car ceux donnés dans la note de synthèse du dernier conseil ne l'étaient qu'à titre indicatif et dans la situation la moins favorable. Il en ressort dans les chiffres définitifs donnés par la banque, que la pénalité de rachat de l'emprunt passe de 470.000 euros à 302.000 euros, que le taux fixe annoncé à 3,25% passe à 3,20% et que l'économie annoncée pour la commune de 90.000 euros passe à 160.324 euros pour être précis ( 4.455.000 restant à rembourser actuellement contre 4.295.000 avec le taux fixe ).

 

                             L'annuité pour 2016 sera pour la dernière fois sous l'emprise de l'emprunt actuel soit 194.000 euros. Les suivantes et ce jusqu'en 2037 seront de 190.000 euros soit un gain de 4.000 euros par an. A toutes ces économies vient s'ajouter l'aide de l'état, dont la demande d'aide n'est valable que jusqu'à ce mois de mars 2016, et qui est de 13.747 euros par an pendant 12 ans assortie d'un emprunt sécurisé.

                                 Le mot de la fin du maire à été pour Mme Pasut : " J'espère qu'elle saura aussi bien que moi renégocier les emprunts de la CAGV. "

                                  Au sujet de la dette de l'Etat envers le CAFI de 800.000 euros, elle a été surévaluée  à l'époque car l'Etat n'est pas d'accord et il faudra tabler plutôt sur 500.000 euros environ en étant correct après avoir fait les comptes les plus précis possibles d'après le maire. L'affaire est en cours de résolution !

 

 

 



02/02/2016
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